Le jeune nageur Elite membre de l’équipe de France Grégory Mallet est bâti d’un enthousiasme contagieux 1,96 m de muscles et de la pur gentillesse. Motivé, il prendra le départ natation très au sérieux ! Même si le plus important pour lui reste quand même de s’amuser et se faire plaisir à 100%.Trimag : Comment as-tu décidé de participer à ce relais ?Gregory Mallet : Par hasard. En fait, j’ai un ami commun avec Laurent Urban qui travaille dans l’organisation du Tristar. Laurent m’a expliqué le déroulement de la course et m’a proposé de participer en relais. J’ai vraiment apprécié son idée en me disant que cela serait une expérience nouvelle, certainement très sympa. Nous sommes en début de saison d’entraînement en natation, c’était plus facile pour me libérer. Je ne pourrais probablement plus le faire dans quelques semaines. Trimag : Tu es un sprinteur. Comment envisages-tu de vivre ce kilomètre proposé par Tristar ? Gregory Mallet : C’est la grande question ! En toute sérénité, je l’espère. En fait, jusqu’à l’âge de 16 ans, je faisait beaucoup de compétitions en mer. Ensuite, je me suis concentré sur ma discipline actuelle. La mer n’est pas du tout semblable à la piscine, pas de repères, pas de carreaux, pas de roulades… Mais c’est quand même un environnement qui m’est familier. Évidemment, ce kilomètre de nage sera très éloigné de mes habitudes. Je vais devoir gérer mon effort différemment. Je suis content de vivre cette expérience qui me permet de m’épanouir, de m’exprimer autrement, de sortir de la piscine. À Marseille où je m’entraîne, on a vue sur la mer. C’est tous les jours que l’on pense à cette possibilité, de varier les plaisirs…Trimag : Qu’attends-tu de cette course ?Gregory Mallet : Je suis un grand fan de sport automobile. Peut-être même qu’après ma carrière de nageur et une bonne période de repos, je souhaiterais pratiquer dans ce domaine, pour le plaisir. Alors, je n’hésiterais pas, si l’occasion se présente d’approcher mes adversaires pilotes. Je les admire énormément ! Cette course c’est un peu de tout, le plaisir de nager ailleurs, de rencontrer d’autres personnes, athlètes, passionnés et bien sûr de venir à Monaco qui est l’endroit qui me fait rêver…Par Juliana Frechin à Monaco

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